Trouver des vêtements de qualité pour femmes en France peut s’avérer être une véritable quête pour celles qui privilégient l'excellence dans leur garde-robe. Entre marques de renom et créateurs indépendants, le choix est vaste mais les critères de qualité demeurent constants. Dans cet article, nous explorerons comment identifier ces vêtements de haute qualité qui combinent avec brio durabilité, confort et style. Que ce soit pour des besoins quotidiens ou des occasions spéciales, découvrez les secrets pour reconnaître les pièces qui sauront durer dans le temps tout en restant élégantes.
Jeanne L. Paris est la boutique de vêtement pour femme où vous trouverez facilement votre coup de cœur en matière d’habillement. En quelques clics, vous pourrez dénicher votre coup de cœur avec facilité. Notre boutique en ligne pour femme vous offre, en effet, le meilleur de la mode femme et vous permet de faire le plein de vêtements de haut de gamme.
Désireuse de proposer les nouvelles tendances, notre boutique de vêtement femme rivalise de créativité afin de présenter une collection de vêtement de marque pour femme de toute beauté, confectionnée dans un large choix de coupes et de styles. Spécialiste de la mode pour les femmes depuis 1961, Christine Laure vous propose un large éventail de tenues de prêt-à-porter, renouvelées et adaptées à toutes les saisons (printemps, été, automne et l’hiver).
Le choix de la qualité
De très grande qualité, notre sélection de vêtement pour femme en ligne comportent de véritables trésors qui vous subliment, que vous les portiez en toute simplicité ou agrémentés de chaussures et accessoires, tels que bottines, ballerines, lunettes de soleil. Chics, confortables et faciles à assortir, nos vêtements offrent toutes les combinaisons possibles, et ce, à petits prix. Créateur de vêtements de haut de gamme, Christine Laure a su répondre aux besoins des femmes et confectionne ainsi des vêtements légers, confortables, aux finitions impeccables. Les coupes parfaitement adaptées à la morphologie, y compris celles disposant de jolies formes rondes comme une poitrine généreuse, sont proposées dans des matières nobles telles que la soie, la laine, le lin …etc. Grâce à son savoir-faire, elle remplit les principaux critères de norme, à savoir, la matière, le style, la propriété de coupe, la facilité à assortir, le confort et la légèreté.
Des vêtements de marque pour femme originaux et élégants
Que vous soyez à la recherche d’un pantalon jeans pour femme, d’une robe mi- longue unie, d’un joli t-shirt pour femme ou d’une veste, notre boutique vêtement femme vous propose une expérience de shopping ludique. Envie d’un look coloré ? Nous vous invitons à offrir plus de gaieté à votre allure avec nos vêtements de couleurs vives comme l’orange. Afin de vous offrir le choix le plus vaste, notre boutique en ligne femme vous propose régulièrement des nouveautés.
Quels sont les signes indiquant la haute qualité d'un vêtement pour femmes ?
L'importance de lire les étiquettes
Mais alors quels sont ces bons réflexes à adopter ?
"D’abord c’est de lire l’étiquette de composition" indique Anne Montecer, autrice de Le dressing idéal et créatrice de la marque Les Sublimes.
Sauf que c’est loin d’être une évidence pour les consommateur·trices. Selon une étude réalisée par l’Observatoire de la mode circulaire de la Chaire Tex&Care en avril 2022, 37% des personnes interrogées déclarent qu’elles prêtent attention à l’étiquette des vêtements lors d’un achat en magasin contre 8.2% lors d’un achat en ligne.
Pourtant, derrière l’étiquette se cachent de précieuses informations. À commencer par les matières.
S'assurer de la provenance d'un vêtement pour s'assurer de sa qualité
En plus de la composition, le pays de fabrication du vêtement peut être une bonne indication.
Par exemple, si un manteau a été fabriqué en Italie ou un sweat au Portugal cela veut dire que la marque est allée chercher un savoir-faire spécifique, ce qui peut être un gage de qualité.
Si la matière épaisse le vêtement durera plus longtemps
Une fois l‘étiquette analysée, on peut passer à l’étape suivante et observer l’épaisseur, les finitions et les coutures du vêtement. La vue et le toucher sont ainsi nos meilleurs alliés. Commençons par l’épaisseur : une matière textile épais sera plus lourd et moins transparent qu’un tissu très fin, et durera ainsi plus dans le temps.
À noter, comme le précise Fanny Enjolras Galitzine, que "l’épaisseur des tissus doit être adaptée à l’usage du vêtement : un pantalon, qui est une pièce qui subit beaucoup de mouvements et de tensions, doit être cousu dans une étoffe pas trop fine, alors qu’un foulard peut se permettre des tissus plus légères".
Qu’est-ce qu’une marque éthique ?
Pour nous, une marque faisant le choix d’intégralement fabriquer ses marchandises en France est une marque éthique par essence. Car elle doit se conformer au code du travail français avec un nombre légal d’heures travaillées, un salaire minimum, une médecine du travail, le document unique d’évaluation des risques professionnels…
Bien sûr, ce système est imparfait et certaines dérives et entreprises sont régulièrement pointées du doigt. Néanmoins, ce code du travail pose les bases et il serait immoral de dire que les salariés français travaillent (de manière générale) dans de moins bonnes conditions que les ouvriers chinois, bangladais, vietnamiens…
Cela dépend à chaque fois du point de comparaison. On peut toujours trouver de meilleurs élèves et de moins bons.
Qu’est-ce qu’une marque responsable ?
Toutes les entreprises qui se conforment aux obligations dictées par les normes environnementales et les normes sanitaires en vigueur en France et dans l’Union Européenne ne peuvent prétendre à être des marques responsables. Elles ne font que respecter la loi. Ainsi elles se verraient accuser de faire du greenwashing. Par exemple, dans l’industrie des cosmétiques, tous articles fabriqués au sein de l’Union Européenne interdit formellement les tests sur les animaux. Donc une marque made in France qui se vante de ne pas tester ses marchandises sur les animaux, elle pratique une sorte de greenwashing car ce n’est pas une prise de position, c’est simplement respecter la loi.
Pour nous, une marque responsable est une marque qui va plus loin que la réglementation dans sa volonté de réduire son empreinte environnementale comme :
Utiliser des textiles cultivées en France : lin, chanvre ou encore la soie
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Utilise des matières premières qui sont moins polluantes et moins consommatrices de ressources (eau) : comme le lin ou le chanvre
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Utiliser des matières recyclées : comme la laine, le fibres naturelles et le plastique recyclés
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Favoriser une chaîne d’approvisionnement local, en circuit court, justifiée par l’Analyse du Cycle de Vie (ACV) ou le calcul du bilan carbone des articles.
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Être autonome en énergie et/ou en eau
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Etc.
Points d’attention :
Parmi les vegans, l’utilisation de la laine est souvent décriée car elle est jugée incompatible avec le bien-être animal. Le fait est que la sélection naturelle effectuée depuis des millénaires par l’homme pour avoir des moutons qui donnent une laine abondante, impose de les tondre. L’art de la nuance est en perte de vitesse, néanmoins je ne me résous pas à cataloguer tous les a agriculteurs/éleveurs dans le même sac. Certains travaillent dans le respect du bien-être de leur cheptel et d’autres pas. Jeter l’opprobre sur un corps de métier représenté par des milliers d’individus n’a aucun sens.
L’utilisation de plastique recyclé est également souvent remis en cause, car il serait une source de pollution aux microplastiques. J’emploie le conditionnel non pas pour nier cette pollution mais parce qu’il existe DES plastiques, de composition et avec des fins de vie très différentes. À nouveau, le fait est que le plastique est largement présent dans notre quotidien et dans l’environnement, alors fabriquer de nouveaux marchandises avec une étoffe existante, du plastique recyclé, est, de notre point vue, une bonne idée.
« Le produit durable », personnellement j’ai un problème avec cet argument. Pour moi, tout article devrait être conçu pour être durable. L’obsolescence programmée des composants électroniques et des vêtements de la fast fashion sont des anomalies. La norme est de proposer un produit « qui fait son temps ». Bien que je suis consciente qu’il est extrêmement compliqué de définir « ce temps ». Est-ce qu’un t-shirt régulièrement porté doit tenir 3 ans, 5 ans, 10 ans ? Et d’ailleurs, que signifie “régulièrement” : tous les 2 jours, 1 fois par semaine, etc. ?
Quelles matières privilégier et à éviter pour garantir la durabilité des vêtements ?
On commence par les 5 matières à éviter !
Le polyester
Le polyester est la fibre synthétique la plus utilisée dans nos vêtements. C’est une étoffe artificielle composée de pétrole, qui représente 70% des fibres synthétiques utilisées dans l'industrie du textile et 42 millions de tonnes produites chaque année ! Apprécié pour sa résistance et son élasticité, on en trouve partout (particulièrement dans nos vêtements de sport, mais pas que). Sa production est hautement polluante pour notre Planète et durant leurs lavages en machine, les vêtements en polyester relâchent des micro-particules de plastique, qui terminent dans nos océans et détruisent nos fonds-marins.
Préférez-lui le polyester recyclé (ou des étoffes naturelles respirantes comme le textile naturelle comme la soie).
L’acrylique
L’acrylique est une matériau chimique et synthétique, fabriquée à partir de pétrole également. Cette étoffe (aussi utilisée pour la peinture) est souvent utilisée en complément à a laine car elle y ajoute douceur, confort et facilité d'entretien. On en trouve par exemple beaucoup dans les pulls. Malgré ses atouts techniques, l’acrylique est très nocive pour l’environnement et pour l’être humain. Aussi, les vêtements fabriqués à partir d’acrylique ne sont généralement pas de bonne qualité. Ils ont tendance à boulocher et ne sont pas très solides. Egalement, le textile acrylique ne respire pas, et conserve les odeurs. Ainsi, la durée de vie des vêtements contenant de l’acrylique est plutôt réduite, ce qui génère plus de déchets. Enfin, comme le polyester, elle relâche des micro-particules dans l'environnement.
Préférez-lui des vêtements en étoffe naturelle (coton bio, laine, soie) ou en mélanges de fibres recyclées.
L'élasthanne
Autre étoffe "made in pétrole" et synthétique, l’élasthanne est souvent présente dans les vêtements qui ont besoin d’élasticité (chaussettes, sous-vêtements, maillots de bain, leggings...). C’est un élément peu résistante à la chaleur, qu’elle soit humide ou sèche. Comme tous les textiles synthétiques, la production de l’élasthanne est très polluante de part sa fabrication, ses micro-particules rejetées dans l'océan, mais également parce que cette étoffe se recycle difficilement (contrairement au polyester par exemple).
Difficile de trouver de l'élasthanne recyclée ici. Tenter de privilégier des vêtements (chaussettes par exemple) ou le % d'élasthanne est le plus faible possible.
Le nylon
Dérivé du pétrole, le nylon (type polyamide) est produit à partir de plastique. Apprécié pour sa ressemblance à la soie, le Nylon est aujourd’hui utilisé dans de nombreux vêtements : particulièrement les collants. D'ailleurs, les collants dont l'étoffe principale est le nylon ont une durée de vie entre 3 et 5 jours, d'après une étude HOP. Pourtant, il faut 14000 km de fils et 750 litres d'eau pour fabriquer une seule paire, et 30 à 40 ans pour qu'elle se dégrade. Bref, un investissement énorme pour un résultat assez médiocre. Ce textile artificielle provoque les mêmes fléaux environnementaux que le polyester. Micro-particules relâchées, consommation d'énergie colossale, etc...
Préférez-lui le nylon recyclé ou des textiles naturelles.
La viscose
La viscose est une étoffe chimique artificielle est obtenue à partir de cellulose régénérée de végétaux comme la fibre naturelle ou le bambou. Cette étoffe n’est pas naturelle, mais n’est pas non plus synthétique : on dit qu’elle est artificielle car elle est naturelle mais transformée chimiquement. Souvent comparée à la soie car agréable à porter et résistante, la viscose est omniprésente dans l’industrie du textile (robes, chemises, etc) car elle est très bon marché. Pour autant, les produits utilisés pour transformer cette fibre naturelle sont hautement chimiques et donc aussi mauvais pour notre peau que pour notre Planète.
A l’inverse, voici 5 matières à privilégier !
Bien que ces textiles ne soient pas "parfaites" et neutres écologiquement parlant, elles représentent de bonnes alternatives et sont idéalement à privilégier par rapport à celles déjà citées.
✅ Le coton bio
Très utilisé et apprécié dans le textile, l'étoffe naturelle la plus produite au monde. Pour autant, bien que naturel, la textile cotonneuse n'est pas écologique ; il nécessite beaucoup d'eau pour sa culture ainsi que des pesticides, notamment dangereux pour les cultivateurs. Heureusement, il existe le fibre naturelle BIO ! Bien plus écologique et sain.
Ce textile est cultivé sans pesticides, insecticides ou engrais chimiques, et sans OGM. Les producteurs utilisent des engrais et insecticides naturels, qui ne nuisent ni à leur santé, ni à notre Planète. Aussi, la culture du textile biologique nécessite 10 à 20 x moins.d'eau que celle celle du coton "classique". Des économies non négligeables ! Enfin, cette étoffe a la particularité d'être très doux au toucher, robuste et durable.
Le lin
Le lin est une étoffe thermorégulateur. Il apporte une sensation de fraîcheur en été et conserve la chaleur en hiver. C'est un très bon isolant et un matériau respirante. Le lin est la fibre textile la plus résistante. Le lin est notamment cultivé au nord de la France, près des côtes ! Sa culture demande très peu d’engrais et grâce à ses très longues racines, il n’a pas besoin d’irrigation (= aucune eau "ajoutée" !). Le lin nécessite également 5 fois moins de pesticides que le coton. Bref, le top ! Et si vous pouvez choisir du lin bio, c'est encore mieux bien sûr. Seul bémol, le lin se froisse généralement plus facilement que le coton et n'est pas toujours aussi confortable/agréable à porter. Mais le lin a fait du chemin depuis sa création et ses "clichés" ne sont plus toujours justifiés.
Le chanvre
Le chanvre est issu du Cannabis Sativa L, une plante cousine du cannabis. Il offre un rendement particulièrement important puisqu’il pousse très rapidement. La France est aujourd’hui le premier producteur de chanvre au monde. Le chanvre est considéré comme le textile la plus écologique du marché. Comme le lin, pas besoin de système d’irrigation pour pousser. De plus, le chanvre est très résistant aux insectes et aux maladies. Il n’est donc pas nécessaire d’utiliser de pesticides pour le cultiver. C'est une étoffe particulièrement solide également. Seul bémol, un toucher qui gratte parfois un peu et qui n'est globalement pas aussi doux que celui du coton par exemple. Le chanvre était très utilisé au 20ème siècle mais il à peu à peu laisser place au coton ou aux fibres synthétiques... Il revient malgré tout en force et l'on en trouve de plus en plus sur le marché.
Le liège
Provenant du chêne-liège (arbre que l'on trouve principalement au Portugal et sur le bassin méditerranéen), le liège est un produit zéro déchet : toutes les parties de l'écorce sont revalorisées et exploitées durant sa transformation. On l'utilise évidemment beaucoup dans l'industrie du vin, mais également dans la maroquinerie. Le liège devenu tissu, constitue un matériau vegan, flexible, léger, naturel, capable de remplacer le cuir. Il est indéchirable et lavable avec de l'eau savonneuse et une éponge. Son toucher est velouté, doux, à mi-chemin entre le cuir et le daim. Il est 100% naturel, renouvelable et biodégradable !
Le tencel (ou lyocell)
Le tencel est une fibre 100 % biodégradable : il est produit à partir de pulpe de bois (feuillus, eucalyptus, bambou) dont le mélange est dissout dans un solvant organique recyclable. Cette étoffe est une alternative écologique à la viscose. C'est un tissu respirant et résistant. De plus, le tencel est recyclé en circuit fermé à 99% et nécessite 10x moins d'eau en moyenne que l'étoffe pour pousser. Il est important de s’assurer avant tout achat que la fibre est issue de forêts certifiées (label FSC par exemple). Une très bonne alternative donc. Pour autant, le secteur du textile ne doit pas en abuser, afin d'éviter toute déforestation.
Combien coûtent les vêtements Made in France ?
Les vêtements fabriqués en France ont un bien meilleur rapport qualité/prix que la fast fashion et ne coûtent en réalité pas plus cher que les grandes marques dont les boutiques sont pleines, comme Levi’s, Nike, Adidas, etc. Sans parler de l’impasse écologique et économique du made in ailleurs tel qu’il est pratiqué de nos jours. Voici un ordre de coût.
Pour un t-shirt fabriqué en coton bio ou dans des textiles recyclées, le premier montant est de 25€. Les prix les plus élevés (entre 75 et 100€) correspondent à des articles fabriqués en lin ou à des modèles très élaborés. Les prix des polos se situent entre 65 et 100 €. Pour un jean, pantalon ou chino, le montant ira d'une soixantaine d'euros à 200 € (montant d'un pantalon tailleur). Le premier coût pour une jupe ou une robe est d'une trentaine d'euros. Pour un pull ou un gilet, les tarif vont de 40 € à plus de 200€ (pour du cachemire en particulier). Le premier tarif pour une blouse, une tunique ou une chemise femme est de 35€. Comptez 185€ pour un chemisier en soie et 100€ pour une chemise homme de haute qualité. Le coût d'une veste femme va de 50€, pour une veste d'été, à 200€. Celui d'une veste homme se situe généralement entre 150 et 200€. Le premier prix d'un manteau femme est de 80€. En moyenne, il coûte dans les 200€, de même qu'une doudoune manches longues. Pour un homme, le prix d'un manteau ou caban de haute qualité dépasse 400€.
Fourchette de prix : 10.00 € à 2320.00 €.